Don't get too close, it's dark inside. † Mordred.

Mordred LeFay-Salazar

Son of Morgane LeFay & Armando Salazar
Nom complet → Mordred LeFay-Salazar
Surnom(s) → Son petit frère a prit l'habitude de l'appeler Mordie. Il est peut-être la seule personne a avoir déjà donné un surnom à Mordred. Même ses parents n'ont jamais prit la peine de le faire.
Âge → 17 ans.
Mon histoire d'origine → Merlin & Pirate des Caraïbes.
J'y suis → Le fils de Morgane LeFay et Armando Salazar
Métier/fonction → Étudiant.
Titre → Il se fut un temps où ses parents étaient encore membres de la noblesse. Maintenant, ce n'est plus véritablement le cas, il n'a donc pas véritablement de titre bien qu'il aurait du être un noble.
Statut matrimonial → Étant asexué, on ne peut pas véritablement dire que ce genre de choses intéressent beaucoup Mordred. S'il n'est pas aromantique, le jeune homme ne semble pas porter d'intérêt aux relations de couples. Néanmoins, s'il devait être avec quelqu'un, il ne prêterait aucune importance au genre de la personne.

Dans mon sac → ✓ Le grimoire que sa mère lui a donné quand elle l'a rencontré.
✓ Un petit sachet remplit d'herbes et de plantes diverses pour la confection de potion.
✓ Le célèbre compas magique de Jack Sparrow qu'il a emprunté à son ami.e Charly Sparrow.
✓ Un carnet et des stylos pour prendre des notes.
✓ Quelques livres traitant généralement de la magie.
Capacité(s) → Fils d'un ancien corsaire, Mordred est un excellent épéiste mais également un excellent tireur. Il a aussi de très grandes capacités dans le domaine de la magie et un potentiel véritablement incroyable à découvrir dans ce domaine. Il a une affinité particulière avec la magie noire, comme sa mère, et serait sans doute l'un des plus grands sorciers que cette planète ait porté s'il voulait vraiment approfondir ce sujet, mais il préfère de loin la magie blanche qu'il apprend en cachette, loin du regard des autres. La légende raconte qu'il aurait été béni à sa naissance malgré le fait qu'il ne soit pas né du bon côté de la barrière.

Célébrité →Asa Butterfield.
Crédit des images de la fiche → gяingλlet ( avatar )

☞ A savoir

✓ Mordred est le fils ainé de Morgane, mais il n'a pas grandit avec elle. ✓ A l'époque, sa mère a commencé à fréquenter le père de Malcolm, son frère, et ça aurait été problématique qu'il apprenne sa liaison d'un soir avec Salazar. ✓ Il a grandit avec son père dans un coin un peu isolé de l'Île. ✓ Il n'a apprit l'identité de sa mère que très tardivement, quand il a eu ses dix ans. ✓ C'est aussi la première fois qu'il a été en contact avec sa mère depuis sa naissance. ✓ Par culpabilité ou par amour, Morgane lui offrit ainsi un grimoire rempli de sortilège qu'elle avait conservé pour lui. ✓ Il n'existe que deux grimoires avec ces sortilèges que Morgane a elle-même écrit à l'intérieur, et l'autre, c'est son frère qui le possède. ✓ En revanche, Modred connaissait Malcolm depuis déjà un moment quand sa mère lui a enfin présenté. ✓ Quand il était encore enfant, Mordred a apprit à manier plusieurs armes qui font partie de l'équipement de base d'un corsaire. ✓ Il est donc très bon épéiste, et même si ce n'était pas évident à apprendre sur l'Île, il est également très doué avec une arme à feu. ✓ Digne héritier de sa mère, il a également un énorme potentiel magique qu'il n'a pas encore véritablement exploité. ✓ En effet, à cause de la présence de la barrière, Mordred ne pouvait pas utiliser de sortilège quand il était encore sur l'Île. ✓ Cependant il n'a pas attendu d'arriver sur Auradon pour s'essayer à la confection de filtres et de potions avec les moyens du bord. ✓ En vérité, c'était en général surtout des remèdes plus qu'autre chose, mais il en était déjà très fier. ✓ Lorsqu'il est arrivé à Auradon, Mordred a toute suite prit ses marques et il fait partit des meilleures élèves de sa classe. ✓ Il parle parfaitement l'anglais ainsi que l'espagnol.

☞ Psychologie On ne peut pas véritablement dire que Mordred est un garçon qu'on remarque beaucoup. Au contraire, il est plutôt du genre a être volontairement effacé et discret. S'il n'est pas timide, le jeune homme sait que quand on veut survivre, il est important de se faire oublier des autres.

Intelligent, cultivé et calculateur, Mordred sait utiliser toutes ses connaissances et ses facilités pour tourner chaque situation à son avantage. Néanmoins, le jeune homme a un sens très élevé de la justice, et malgré ses origines, il est doté d'une très grande bienveillance. En effet, il s'est toujours montré patient et compatissant avec ceux qui le méritaient.

D'ailleurs, même s'il ne le clamait pas haut et fort lorsqu'il vivait sur l'Île, Mordred ne supporte pas l'injustice. Il a le coeur beaucoup plus pur qu'on ne pourrait le croire et s'il n'avait pas été exilé sur l'Île, il aurait certainement pu prétendre à rejoindre une version plus récente de la table ronde.

Calme et réfléchi, Morded est un garçon qui observe longtemps avant d'agir, et qui mesure toujours l'impact de chacune de ses décisions. Il est très rare de voir le jeune homme perdre son sang froid. Au contraire, même quand il est contrarié, Mordred ne laisse rien paraitre.

En revanche, il s'autorise à être très affectueux et attentionné envers son petit frère quand il le faut et à sa manière. Sur l'Île, il n'aurait jamais pu se permettre d'une quelconque marque d'affection trop flagrante sans causer des ennuis à son frère, alors il a prit l'habitude de faire des choses dans l'ombre pour lui quand il le pouvait. Aussi, ce n'est pas étonnant de voir Mordred glisser un chocolat dans le cassier de Malcolm quand il passe devant, par exemple.


Bah c'est encore Endy, quoi.  

Mon histoire

« i'm a catastrophe and yet a masterpiece. »

« Papa, est-ce que tu peux me raconter une histoire ? »  Le petit garçon tenait entre ses mains le vestige d’un livre pour enfant, à moitié consumé par le temps. Sur l’Île, il était assez rare de trouver ce genre de choses, et généralement, les autres vilains se débarrassaient assez rapidement de ce qui leur rappelait les gentils. Ce n’était pas le cas de Salazar. Elevant seul un merveilleux petit garçon, l’ancien corsaire faisait tout ce qui était en son pouvoir pour rendre la vie de son fils la meilleure possible dans un endroit pareil. L’homme attrapa dans ses mains le livre du garçon, et le regarda venir s’assoir en tailleur devant lui. « Donne moi ça. » Les yeux remplit d’étoiles, Mordred était suspendu aux lèvres de son père, écoutant chacune des paroles que ce dernier pouvait dire. Les gentils et les vilains n’étaient pas égalitaires dans ce système, mais les vilains entre eux ne l’étaient pas plus. Si certains avaient le luxe d’avoir pu conserver des vestiges de leurs vies passées, ce n’était pas le cas d’Armando. Il n’eut même pas le privilège de pouvoir garder son navire, bien trop abîmé pour rester à flot. Aussi, pour lui, la vie était bien souvent difficile. L’ancien corsaire n’avait que très peu de choses à offrir à son fils, et celui-ci était si reconnaissant de la moindre petite chose que Salazar ne pouvait que remercier le ciel d’avoir un enfant aussi extraordinaire. Se frottant doucement les yeux alors que son père inventait la suite de l’histoire trop endommagé pour être lue, Mordred commençait à s’endormir. Le jeune garçon vint s’installer sur les genoux de Salazar, posant sa tête sur l’accoudoir bancale du fauteuil avant de sombrer dans les bras de Morphée. « Bonne nuit papa. » Glissa alors Mordred, attrapa un morceau de tissu troué pour se couvrir avant de se rendormir.

Studieux et érudit, Mordred a toujours fait la fierté de son père qui n’a jamais hésité à mettre un point d’honneur à lui apprendre à être bon. Bien qu’il ne soit entouré de raclure, il était hors de question pour Salazar que son fils ne soit un délinquant. Pourtant, Mordred ne s’illustrait pas pour autant dans la défense de ses camarades ou dans les dons de soi pour les autres. S’il détestait l’injustice, Mordred n’était pas pour autant stupide, et il n’allait clairement pas s’afficher en se comportant comme un chevalier servant alors qu’il se ferait certainement punir par les autres enfants. Aussi, dans les couloirs de l’école, le jeune homme restait en retrait, discret et silencieux. C’est sans doute pour cette raison qu’il fut aussi étonné de voir une tête blonde venir l’interpeler. « Donc tu dis que tu t’appelles Malcolm LeFay, c’est ça ? » Mordred observa de haut en bas le garçon devant lui. Il ne devait avoir qu’un ou deux ans de moins que lui, et visiblement, ils portaient tous les deux le même nom de famille. Malcolm hocha doucement la tête. « Et toi ? Pourquoi tu t’appelles LeFay ? » Mordred soupira. Si la question était légitime, la réponse n’en était pas moins assez évidente pour que le petite garçon ne la trouve idiote. « C’est le nom de ma mère. Ca et mon prénom, c’est les seules choses qu’elle m’a jamais donné avant de m’abandonner. » Alors que Malcom cherchait encore la conclusion à cette discussion, Mordred comprenait enfin pourquoi son père ne lui avait jamais dit la véritable raison de l’absence de sa mère. Salazar avait juste préféré préserver son fils. « On dirait bien que tu as eu plus de chance que moi. » Dit-il alors que Malcolm posait les yeux sur lui, réalisant enfin que ce n’était pas un hasard s’ils portaient le même nom. Il faut croire que Morgane n’avait pas tout dit à son fils adoré. « Mais alors, ça veut dire que tu es mon frère ? » Mordred se décolla du mur sur lequel il s’était posé un peu avant. La sonnerie venait de retentir, il devait rejoindre sa salle de classe. « On dirait bien. »

Le jeune homme feuilleta brièvement le grimoire qu’on venait de lui tendre. Il était écrit des textes en langues anciennes, des formules, des potions… En somme, un vrai puit de savoir pour n’importe qui voulant prétendre à l’accès à la magie. Il releva doucement la tête vers sa mère qui le regardait avec beaucoup d’appréhension. « Me donner ce livre, ça ne vous donne pas le droit de prétendre à ce que je vous considère comme ma mère. » Dit-il simplement, après un long moment de silence. Salazar, qui se tenait juste derrière son fils, la main sur son épaule, fit une légère grimace. Mordred avait reçu une éducation stricte et respectueuse. C’était la première fois que l’ancien marin entendait son fils parler de la sorte. Il s’apprêtait à lui répondre mais Morgane fut la première. « Tu as parfaitement raison, Mordred. C’est pour ça que j’aimerai apprendre à te connaitre. » Un soupire échappa au jeune homme peut-être un peu trop mature pour son âge. Il ne pouvait s’empêcher de penser qu’il était un peu tard pour se réveiller au bout de divans, mais après tout, sa mère restait l’une des sorcières les plus puissantes qu’il n’ait jamais existé, et de ce fait, elle aurait sans doute beaucoup de choses à lui apprendre. En plus, s’il se rapprochait de Morgane, il pourrait également passer plus de temps avec son petit frère. Malgré qu’il ne le montre pas, Mordred avait fini par avoir beaucoup d’affection pour Malcolm, et même si officiellement ils n’étaient pas sensés se connaitre, le jeune homme prenait très à coeur son rôle de grand frère et faisait ce qu’il pouvait dans l’ombre pour veiller sur son frère. « Je pense qu’on peut envisager ça. » Commença Mordred en regardant son père, pour voir sa réaction, avant de reposer le regard sur le grimoire qu’il tenait entre ses mains. « Dans ce cas, j’accepte de passer du temps avec vous à la condition que vous m’en appreniez plus sur ça. » Ajouta-t-il en montrant le grimoire à sa mère. Morgane hocha la tête. Il fallait bien respecter les traditions de l’Île et avoir un intérêt dans tout genre de situation.

« Mais il est vraiment magique, son compas, à ton père ? » Lança Mordred, interrompant Charly dans son long monologue sur les aventures incroyables de son père. Ce n’a pas été facile de s’ouvrir pour Mordred. Il n’a réellement accordé sa confiance pour la première fois à quelqu’un d’autre qu’à son père et à son frère seulement à l’âge de ses douze ans, et se fut à l’un.e de très rares amis. S’ils se connaissaient depuis toujours, accorder sa confiance à Charly ne fut pas simple pour Mordred. En effet, si le jeune a finit par se rapprocher d’iel, ce ne fut que parce qu’ils partageaient tout deux la même histoire. Tout comme Mordred, Charly n’avait pas eu la chance de connaitre sa mère. Iel avait grandit avec son père comme seul parent. Surprenant que Jack Sparrow ait réussi à si bien élever cet enfant. Si la rumeur prêtait une dizaine d’enfants à Jack, Charly était le.a seul.e à avoir eu la chance, ou le malheur, de grandir avec son père. Aussi, même si Salazar adorait son fils plus que tout, il ne lui aurait certainement pas pardonner cette amitié s’il avait apprit la vérité sur cette relation. Charly était son secret, et même si cela n’avait aucun sens, Mordred aimait l’idée d’avoir son secret à lui que personne d’autre ne connait. « Je crois. C’est ce qu’il m’a dit, en tout cas. » Répondit Charly en haussant les épaules. Plus il passait du temps avec sa mère, plus Mordred développait une véritable fascination pour la magie et tous ses dérivés. Malheureusement sur l’Île, la magie n’existait plus vraiment, et même si le compas qui le fascinait existait bien, Mordred ne pourrait étudier son fonctionnement avec le dôme qui coupait la magie. Mordred soupira légèrement. « Peut-être qu’un jour, on pourra sortir d’ici et on pourra essayer de le faire fonctionner. » Proposa Charly. Un sourire vint alors se poser sur les lèvres du jeune garçon. Au fond de lui, Mordred nourrit l’espoir de connaitre un autre monde que le sien depuis ce jour-là.

« Mordred, t’as vu ça ? » Charly venait d’arriver dans leurs petites cachettes, perdue dans un coin oublié de l’Île. Le jeune garçon était occupé à la préparation d’un filtre qu’il avait vu dans le grimoire de sa mère. Avec le temps, il avait réussi à utiliser quelques potions ne demandant aucune magie pour permettre d’être utilisé. En soit, on peut comparer ce qu’il faisait à de la médecine alternative. « Ca ? » Demanda alors Mordred sans quitter des yeux sa mixture. Charly alla s’assoir en tailleur face de lui, l’air tout excité comme s’iel venait d’apprendre une nouvelle incroyable. « Auradon a décidé de laisser sortir des enfants de méchants pour la première fois ! » Le jeune homme lâcha alors tout ce qu’il avait dans ses mains pour regard son ami.e. Leurs yeux brillaient du même éclat d’espoir. « Pour de vrai ? » Charly hocha vivement la tête en signe de confirmation. « Qui ? Quand ? Comment ? » Lança alors le jeune homme, rêvant déjà de remplir un formulaire quelconque pour tenter sa chance. Après tout, lui plus qu’un autre, n’avait aucun raison d’être enfermé sur cette maudit Île. Son père n’était même pas un véritable méchant ! Malheureusement, rien de tout ça n’était vraiment prévu, et les enfants de méchants avaient déjà été choisis avant même cette annonce. Il s’agirait de Mal, Jay, Evie et Carlos. Comme par hasard, il fallait que ça soit cette petite bande là en particulier. « Mais peut-être que notre tour viendra ! » Conclut alors Charly. Mordred, lui, avait perdu tout espoir. Si cela était un test, avec eux, on pouvait être sur qu’Auradon ne referait pas la même erreur une deuxième fois, et qu’il resterait sur cette Île jusqu’à la fin de ses jours. Doucement, Charly vint poser sur le bras de Mordred en lui faisant un léger sourire compatissant. Depuis quelque temps, Charly était devenu.e beaucoup plus proche et affectueux.euse avec Mordred. Iel lui envoyait des signaux très clairs de ses intentions, mais Mordred continuer de feindre de ne pas comprendre. Tant que Charly ne lui disait pas clairement ce qu’iel attendait de lui, Mordred continuerait de faire semblant, de peur de perdre son ami.e parce qu’il n’est pas certain d’être capable d’éprouver la même chose.

S’il ne l’avait confié à personne, pas même Charly, Mordred avait été énormément heureux de pouvoir rejoindre Auradon. Contrairement au chemin que sa mère avait prit, le jeune homme avait hâte d’apprendre la magie blanche, et pour se faire, rien de mieux que de pouvoir faire un tour chez les ‘gentils’ de l’histoire. Aussi, même si son père avait préféré rester vivre sur l’Île plutôt que de tenter sa chance de l’autre côté, Mordred n’avait pas hésité une seconde en recevant la confirmation de son inscription à Auradon Prep. En plus, maintenant qu’il était loin de ses parents, le jeune homme pourrait enfin librement passer du temps avec son frère. Du moins, de manière un peu plus directe que de simplement rester dans l’ombre et de le surveiller. Posant sa valise sur son lit, Mordred se retourna vers Charly, qui l’attendait dans le couloir. « Tu es sûr que c’était une bonne idée ? » Demanda-t-iel. Si jusqu’à présent Charly montrait autant d’enthousiasme que Mordred à découvrir Auradon, iel avait maintenant peur de perdre le jeune homme pour qu’iel avait développé des sentiments. Haussant les épaules, l’apprenti sorcier avança jusque’à son ami.e, s’arrêtant à sa hauteur. « C’est ce qu’on a toujours voulu, non ? Et puis tu as le compas de ton père, tu devrais pouvoir voir ce que tu veux vraiment maintenant, pas vrai ? »  Charly baissa les yeux sur le petit objet dans sa main. Délicatement, iel ouvrit le couvercle et sans aucune surprise, la petite aiguille n’hésita pas une seconde avant de pointer Mordred, souriant, devant iel. Un faux sourire s’afficha sur les lèvres de Charly alors qu’il referma le compas avant que le jeune homme ne puisse se pencher dessus. « Tu as raison, c’est ici qu’il y a ce que mon coeur désire le plus. » Le jeune homme croisa les bras sur sa poitrine, mimant de bouder parce que son ami.e ne l’a pas laissé observer la magie de son compas. Un petit rire échappa instantanément à Charly qui connaissait très bien les mimiques de son ami. Il faut dire que Mordred avait apprit il y a déjà longtemps qu’il pouvait obtenir à peu près ce qu’il voulait de son ami.e en faisant juste la moue. « Tu sais quoi ? Je crois que je sais déjà ce que je veux, tu devrais essayer pour voir, toi qui n’a jamais su ce qu’il voulait. » Ajouta Charly, tendant son précieux compas au jeune homme qui l’ouvrit aussitôt qu’il l’eut dans ses mains. Malheureusement, l’aiguille ne fit que de tourner sur elle-même, ne s’arrêtant dans aucune direction. De nouveau, un petit rire échappa à Charly, mais avant qu’iel ne fasse la remarque à Mordred que même le compas ne pouvait savoir ce qu’il voulait, celui-ci prit la parole. « Pfff ! Il est nul ton truc. » Néanmoins, il le glissa doucement dans sa poche. « Et puisque ça t’amuse, je te le rendrai seulement quand il m’aura montré quelque chose. » Sans rien n'ajouter, le jeune homme sortit de sa chambre pour rejoindre son tout premier cours.