Nouvelle vie et nouvelle rentrée feat Libre

Nouvelle vie et nouvelle rentrée

Sandrine | Libre

Mardi 1er septembre 2020

Cela faisait presqu'un mois que Sandrine et les autres étrangers avaient été amenés dans l'univers de "Descendants". La jeune fille n'avait pas trop le moral, ayant dû fêter son anniversaire seule. Sa famille lui manquait plus que tout, y compris son andouille de pére (mais pas ses critiques). La fée marraine était gentille, lui ayant permis d'avoir un logement enfin un toit jusqu'à la rentrée. Elle faisait à présent partie des nouveaux élèves d'Auradon Prep. Elle avait reconnu quelques têtes comme Carlos et Jane. Ils étaient à leur dernière année si elle avait bien compris. Elle aurait eu fini depuis longtemps si elle n'avait pas redoublé à deux reprises. Mais bon, ce n'était sans doute pas plus mal. Elle pouvait jouer les étudiants à Auradon Prep même si Mal ou Evie n'étaient plus là. Il restait Célia et Java mais elle ne leur avait pas encore parler.

Pour son premier jour de la rentrée, elle s'était levée de bonne heure. Sa camarade de chambre l'était aussi. Sandrine regrettait d'être obligée de partager sa chambre. C'était plus tranquille avant la rentrée. Elle s'était habillée avec les nouveaux vêtements qu'elle avait pu s’acheter grâce à la bourse accordé par Ben. Oui, elle ne se faisait pas à l'appeler "roi Ben" ou "majesté". C'était Ben et puis, c'est tout !

Une fois prête, elle descendit pour la cafétéria et se prit un plateau composé de pains au chocolat, un jus d'orange et une banane. Un bon petit déjeuner équilibré ! Puis, elle alla s'asseoir à une table, son sac de cours à côté d'elle. La jeune fille se demanda qui allait être les nouveaux Chad ou Audrey. Il n'avait tout de même pas aussi pire qu'eux comme enfants de gentils. Si ? Du côté des enfants de l'île, bon, ça, c'était un peu à prévoir quand on savait que les petites filles de la vieille sorcière dans "Merlin l'Enchanteur" avaient un peu foutu la merde cet été ! Merci les filles !

▲▼ Nouvelle vie et nouvelle rentrée

Iris n’était arrivée que la veille avec le carrosse de sa famille. Elle s’était tranquillement installée dans sa chambre, ne pensant qu’au lendemain. Pour le moment, elle n’avait pas encore eut l’occasion d’explorer l’école et elle ne savait pas si elle aurait le temps de le faire ce jour-là non plus. Quoi qu’il en soit, ce matin-là, elle avait pris un bon bain chaud avant de coiffée sa chevelure blonde. Une fois vêtue d’une chemise prune sur un débardeur lilas et d’une longue jupe prune, elle se prépara à quitte la chambre, demeurant pieds nus… Oui, la scolarité n’était pas une raison suffisante pour mettre des chaussures.

Bien sûr, avant de quitté cette dernière, la fille de Raiponce avait récupéré son sac et avait tendue une main vers Newton qui était aussitôt monté sur l’épaule de jeune femme, s’agrippant à la lanière de son épaule. Bien, direction le dortoir maintenant… Elle ne pouvait pas vraiment fournir à Newton des mouches, mais elle savait qu’il se débrouillerait pour attraper les mouches qui passerait à sa portée. En attendant, elle avait récupéré un plateau et y avait déposé une pomme, ainsi que deux cupcake et un jus d’Orange… De la gourmandise, oui, mais ce n’était pas bien grave, elle restait dans les clous d’un repas équilibré.

Elle se tourna alors vers la pièce, cherchant autour d’elle une place. Il y avait ici d’autres enfants de héros, d’autres princesses et princes… Elle ne savait pas si c’était vers eux, vers les enfants de méchants ou vers les nouveaux venus qu’elle allait se diriger… Elle ne savait pas, alors elle décida de laisser le hasard décidé de tout ça. Elle s’était donc dirigée vers une table où se trouvait d’or et déjà une autre jeune femme. La blonde se dandina une seconde sur ses pieds nus avant de s’éclaircir légèrement la gorge.

« Euh… Bonjours, je me nomme Iris, est-ce que je peux m’asseoir à votre table, s’il vous plais ? »

Et elle lui adressa un sourire, Newton adopta maintenant une couleur proche de sa chevelure dorée tout en restant sur l’épaule de la jeune femme. A croire qu’il essayait de se faire le plus discret possible. Et en attendant, Iris passa encore une fois d’un pied sur l’autre en attendant d’avoir la réponse de l’autre demoiselle. En attendant, elle gardait toujours un sourire sur ses lèvres, un sourire qui ressemblait beaucoup à ceux que son père pouvait afficher à certains moments.

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Nouvelle vie et nouvelle rentrée

Sandrine | Libre

Mardi 1er septembre 2020

Sandrine déjeunait tranquillement lorsqu'une voix lui fit lever la tête. Elle était tellement perdu dans ses pensées qu'elle ne s'attendait pas à ce que quelqu'un vienne lui parler. Il s'agissait d'une jeune fille, long cheveux blond et tenant un plateau. Elle avait un sourire qui lui fit penser à Flynn Ryder dans "Raiponce". Même qu'on aurait dit le sosie de Raiponce ou Raiponce plus jeune. Elle ignorait qui pouvaient être les nouvelles générations après la bande de Mal et compagnie. Bon, il y avait déjà Java et Célia dont elle savait.

- Bonjour Iris. Moi, c'est Sandrine. Tu peux t'asseoir, il n'y a pas de soucis ! lui répondit à la petite demoiselle en lui souriant.

Elle ne fit pas attention au caméléon qui avait pris la couleur des cheveux de sa propriétaire. Mais Sandrine observa un peu plus et crut voir l'animal. Pour une fan des films Disney, autant vous dire que la première chose à laquelle pensa la brunette, ce fut vraiment à Raiponce et Pascal. Toujours inséparables ces deux-là, jamais l'un sans l'autre.

- Euh excuse-moi ... C'est un caméléon sur ton épaule ?

La Belge était persuadée de ne pas se tromper qu'elle avait devant elle la fille de Raiponce. En même temps, ça ne serait pas étonnant. La petite blonde avait vraiment un petit air de Raiponce. Hormis qu'elle avait pas remarqué les pieds nus de la jeune princesse. Cela ne saurait tarder !

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La jeune femme qu’elle avait dérangé s’était présenté sous le nom de Sandrine et, cette fois, elle lui avait adressé un nouveau sourire. Enfin, elle lui avait alors répondu que, oui, elle pouvait s’asseoir. Iris avait alors posé son plateau en face de Sandrine et se prépara à s’asseoir quand elle lui demanda si c’était un caméléon sur son épaule. Mais bon, puisque l’autre demoiselle la tutoyait, elle ne voyait pas d’inconvénient à faire pareil. Iris plaça sa main près du petit reptile et ce dernier monta sur cette dernière alors que la blonde était déjà en train de lui répondre, le plus calmement du monde :

« Oui, c’en est un. Il s’appelle Newton. Dis bonjours, Newton. »

Pour toute réponse, le caméléon avait tiré la langue un instant avant de la ranger à nouveau sans son gosier. La blonde avait légèrement gloussé, puis, elle avait déposé son meilleur ami sur la table, près de son plateau. La fille de Raiponce avait alors enlevé son sac en bandoulière pour l’accrocher en partie sur le dossier de sa chaise. Puis, elle avait tiré cette dernière avant de s’y asseoir le plus tranquillement du monde. D’un geste, la jeune femme avait repoussé sa chevelure en arrière de façon à ce qu’on ne risque pas de lui tirer les cheveux. Elle avait l’habitude de ce genre de chose depuis longtemps.

Iris avait alors croqué avec envie dans un cupcake avant de boire une gorgée de son jus d’orange. Puis, la jeune femme avait alors croisé ses jambes sous sa chaise, gardant ses pieds nus l’un contre l’autre. Son regard passa rapidement sur une horloge, elles avaient largement le temps de manger et de passer à leurs casiers avant d’aller au premier cours. Oui, il n’y avait pas encore de problème pour bien commencer l’année. Le regard de la jeune femme se posa à nouveau sur la jeune femme en face d’elle alors que Newton semblait simplement se coucher sur la table, ses yeux exorbités regardant tout autour de lui, un peu inquiet. C’était normal, tout comme Iris, il ne connaissait encore rien de cet endroit dans lequel ils se trouvaient maintenant. Bon, bien sûr ils avaient eut une visite guidée, mais ce n’était pas avec une seule visite qu’elle pouvait connaître l’école comme le château de Corona.

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Sandrine | Libre

Mardi 1er septembre 2020

L'adolescente s'assit lorsque Sandrine lui posa une question. Elle tendit une main vers l'animal pour qu'il vienne dessus avant que sa maitresse ne réponde :

« Oui, c’en est un. Il s’appelle Newton. Dis bonjours, Newton. » fit calmement Iris.
- Salut Newton ! dit Sandrine.

Ce dernier lui tira la langue un bref instant. Cela fit sourire la brune. Sans doute sa manière de saluer les inconnus façon Pascal. Encore heureux que Newton n'avait pas mis sa langue dans son oreille. La Belge revoyait la scène de la rencontre entre Pascal, Raiponce et Eugène. Finissant ses pains au chocolat, elle fut une gorgée de son jus d'orange. Il était vraiment délicieux. Une bonne cure de vitamine pour entamer la journée. Une journée qui allait être longue certainement bien que Sandrine n'avait pas tous les cours. Pas besoin du cours de bonté, dans le monde réel, ils savent ce qu'il faut faire. En même temps, elle avait bien démontré à la Bonne Fée qu'elle possédait de bonnes manières.

Jetant un coup d’œil sur son téléphone portable (l'heure avait été mise à jour pour s'adapter à l'horaire de ce monde), elle avait encore un peu le temps. Elle commençait la matinée avec le cours de chimie. Berk ! Elle détestait les sciences autant que les math.

- Au fait, tu viens d'où ?

Commencer les conversations n'était pas son fort mais Sandrine faisait de son mieux pour s'intégrer dans sa nouvelle école. Une école un peu imposée puisque c'était la seule pouvant l'accueillir. En dernière année, elle ne savait absolument pas ce qu'elle ferait une fois diplômée.

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Maintenant assise à table, Iris profitait tranquillement de son petit déjeuner tout en discutant avec Sandrine. Cette dernière avait d’ailleurs saluer Newton quand elle le lui avait présenté, ce qui réjouissait la fille de Raiponce. Même si le Caméléon semblait plus préoccuper par ce qu’il y avait d’autre dans cette nouvelle vie. La blonde finit purement et simplement son cupcake tout en regardant elle aussi autour d’elle. Puis, la voix de la jeune femme l’avait ramené à la réalité. Elle lui demandait d’où elle venait et par sous la table, la jeune femme frotta un moment ses pieds l’un contre l’autre.

« Je viens du royaume de Corona, c’est au Sud d’ici. »

Elle n’avait cependant pas dit qu’elle en était la princesse, elle n’aimait pas se vanter et puis… elle n’aimait pas qu’on la traite en princesse, elle préférait de loin une vie beaucoup plus simple. Elle avait bu quelques gorgée de son jus d’orange, puis, elle avait alors repris la parole, calmement :

« Et toi ? D’où viens-tu ? Tu es à l’école depuis longtemps ? »

Elle était peut-être un peu trop curieuse, mais bon, c’était la première personne qu’elle rencontrait depuis qu’elle était arrivée à Auradon Prep. Elle croqua dans sa pomme. Il ne fallait pas oublier qu’elles était là pour manger avant le début des cours après tout. Iris ressentait une certaine excitation, même si elle devait bien avouer qu’elle avait hâte d’être au cours d’Art Plastique. Peut-être aussi de la gymnastique ? A dire vrai, elle n’avait même pas encore regarder son emploi du temps, si ce n’était l’horaire de son premier cours.

« C’est quoi ton premier cours ? »

Tout en demandant ça, la jeune femme tout en tirant un carnet de son sac de cours, elle l’ouvrit à la page où elle avait collé son emploi du temps et y jeta un coup d’oeil. Hum… Grammaire… Dommage… Enfin, elle allait faire avec et ne se plaindrait pas. Newton se rapprocha simplement du plateau d’Iris, son regard continuant de pointer un peu dans toute les directions et le simple fait de l’avoir à ses cotés aidait la jeune femme à se sentir mieux. Pas qu’elle ait été vraiment stressée avant, mais… Et bien… Elle se demandait un peu à quelle sauce elle allait pouvoir être mangée… Cette pensée amusa un peu la jeune femme.

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Sandrine | Libre

Mardi 1er septembre 2020

Iris révéla qu'elle venait de Corona, situant que le royaume était au Sud d'Auradon. Bon, elle ne dit pas si elle était princesse, et donc la fille de Raiponce. Mais Sandrine resta persuadée qu'elle devait l'être tout de même. C'est juste qu'avec les aventures vécues par la princesse de Corona et son voleur de fiancé (enfin son mari maintenant), s'ils avaient un enfant, ils lui diraient sûrement de faire bien attention. Surtout qu'il y avait la fille de la Mère Gothel, Ginny. Est-ce que Cassandra était revenue de ses aventures en solo ? La brunette imaginait bien la petite réunion de famille entre la Mère Gothel, Ginny,Cassandra et Raiponce. Raiponce serait sans doute ravie d'avoir une petite sœur adoptive (après tout, Gothel était sa mère adoptive puisqu'elle l'avait élevée comme sa fille). Sandrine reprit une nouvelle gorgée de son jus d'orange. Il fallait qu'elle arrête de chercher à savoir qui était qui et comment ça pourrait se dérouler pour ses personnages préférés. Ils étaient un peu comme sa famille, ayant grandi avec eux.

« Et toi ? D’où viens-tu ? Tu es à l’école depuis longtemps ? »
- T'as entendu parler des gens qui venaient d'un autre monde ? Ben, j'en fais partie ! Donc, c'est ma première année à Auradon Prep. Je suis là depuis le mois dernier.

Elle s'attaqua maintenant à sa banane qu'elle éplucha pour croquer un morceau. La petite blondinette lui demanda ensuite quel était son premier cours. Elle sortit pratiquement tout de suite un carnet de son sac pour l'ouvrir sur son emploi du temps. Même si Sandrine avait redoublé à deux reprises, elle ne pouvait pas être dans la classe d'Iris.

- J'ai chimie ! répondit-elle en grimaçant. Et toi ?

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Iris vit que Sandrine se perdait dans ses pensées et elle la laissa simplement faire, en profitant pour regarder un peu autour d’elle. Il s’était passer encore un peu avant que la fille de Raiponce ne demande à l’autre jeune femme d’où elle venait et si elle était là depuis longtemps. Elle avait alors confirmer une de ses théorie, oui, elle faisait partie des nouveau venue et lui révéla également qu’elle était ici depuis un mois et qu’elle faisait par la même occasion sa première année. La blonde continuait de manger tout en discutant. Puis, quand elle lui avait demandé quel était son premier cours, elle lui avait répondu qu’elle avait chimie avant de lui demander ce qu’il en serait pour elle. Iris avait alors rapidement jeter un œil à son emploi du temps :

« Grammaire… Ce n’est pas ma matière préférée... »

Elle grimaça et soupira avant de ranger son carnet dans son sac. Pourquoi elle ne pouvait pas avoir art plastique ? Enfin, elle devait bien faire avec et, pour se donner du courage, elle avait repris la parole :

« Mais bon, il faut bien commencer quelque part, n’est-ce pas ? »

Iris laissa quelques instants le silence s’installer avant qu’elle ne finisse par se morde légèrement la lèvre. Elle avait plein de question et elle n’arrivait tout simplement pas à s’en empêcher alors voilà, elle avait simplement repris la parole en gardant son regard river vers l’autre jeune femme :

« Tu me demandais si j’avais entendu parler des gens comme toi, qui venaient d’un autre monde… C’est bel et bien le cas, j’ai entendu parlé de vous à la télé… Et je me suis toujours demandé à quoi pouvait bien ressembler le monde dont vous être originaires. »

Pendant qu’on ne s’intéressait plus vraiment à lui, Newton avait sauter de la table pour atterrir sur le sac de la blonde dans lequel il s’était engouffrer. La fille de Raiponce l’avait vu faire, mais elle n’avait rien dit, ils étaient habitués à agir ainsi et puis, pour le moment, elle était trop curieuse de la réponse que pourrait lui donner Sandrine.

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Sandrine | Libre

Mardi 1er septembre 2020

Repoussant une mèche derrière son oreille, Iris répondit qu'elle avait grammaire mais que ce n'était pas sa matière préférée. Tout l'inverse de Sandrine. Elle aurait voulu avoir grammaire en premier que chimie. Quoique, commencer par les matières qu'on aime pas permettait de finir par celles qu'on appréciait le plus. Si Sandrine pouvait finir avec grammaire et arts plastiques, ou même histoire de la magie, voir celle des bûcherons et des pirates. Quant au cours de Compétence de la vie sans magie, elle en était complétement dispensée étant donné qu'elle venait d'un monde dépourvu de magie. Cela serait plutôt l'inverse, comme vivre dans un monde pourvu de magie. Enfin s'adapter à ce type de monde.

« Mais bon, il faut bien commencer quelque part, n’est-ce pas ? »
- Oui !

A présent la banane terminée, la jeune fille avait fini de prendre son déjeuner mais elle resta encore un peu. Elle avait envie de continuer cette conversation.

« Tu me demandais si j’avais entendu parler des gens comme toi, qui venaient d’un autre monde… C’est bel et bien le cas, j’ai entendu parlé de vous à la télé… Et je me suis toujours demandé à quoi pouvait bien ressembler le monde dont vous être originaires. »
- Ben c'est simple : y a pas de magie, que de la technologie comme la télévision, les téléphones portables ou les voitures et il n'y a plus personne qui vit comme au moyen âge ! Les méchants gagnent sur les gentils la plupart du temps, corrompent les lois et les braves petits gens doivent de nombreuses taxes. On n'a pas de Robin des Bois pour voler les riches et donner l'argent aux pauvres.

C'était la stricte vérité. Et il y avait aussi cette saleté de coronavirus mais ici, à Auradon, il n'existait pas. Encore heureux ! Cela aurait été l'apothéose si c'était le cas ! Et puis, un peu de magie faisait du bien. Dommage que Sandrine ne savait pas pratiquer la magie. Mais elle avait une autre magie en elle : la magie des mots.

- Petite, je rêvais de vivre dans un monde comme celui-ci !

Elle remarqua que le petit caméléon avait disparu. Il devait sans doute aller se réfugier dans les affaires de sa jeune camarade.

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Les deux demoiselles avaient donc évoqué les premiers cours qu’elles avaient ce jour-là, rien qui ne soit apparemment des plus passionnant, mais comme elle l’avait dit, il fallait bien commencer quelque part. Ce à quoi Sandrine avait donné son accord et Iris avait simplement laisser un sourire venir se poser sur ses lèvres. Encore quelques instants, puis la fille de réponse lui avait dit qu’elle était curieuse de savoir à quoi ressemblait cet autre monde dont provenait Sandrine ainsi que d’autres personnes. La jeune femme lui avait alors répondu. Ainsi, dans cet autre monde il n’y avait pas de magie, cependant, il y avait de la technologie et Iris l’écouta avec un intérêt qu’elle ne chercha même pas à cacher. Elle lui dit aussi que personne ne vivait comme au moyen âge avant de dire comment cela fonctionnait avec les méchants, les gentils et tout ça et, d’une certaine façon, la blondinette trouva cela très triste. Son regard se détourna légèrement et elle se pinça les lèvres avant de reprendre la parole :

« Tu sais, depuis que le roi à uni nos royaumes et que nous avons plus ou moins renoncer à la magie, nous nous sommes tout de même pas mal développer au niveau de la technologie, donc je ne sais pas si on peu encore vraiment parler de moyen-âge. »

Encore quelques instants de plus, puis finalement Sandrine avait avoué que, quand elle était petite, elle rêvait de vivre dans un monde tel que celui-ci et encore une fois, Iris avait simplement sourit avant de lui répondre :

« Et bien, je suppose que tu dois bien en profiter maintenant que tu es parmi nous… A moins que ce rêve t’ai abandonnée bien sûr. »

Iris s’était encore une fois mordillé la lèvre inférieure sans trop savoir ce qu’elle allait pouvoir dire de plus. La fille de réponse termina sa pomme avant de la reposer sur le plateau, il lui restait un cupcake, mais plutôt que de le manger maintenant, la jeune femme avait récupéré une serviette en papier avant d’y emballer le gâteau, puis, elle avait pris son sac sur ses genoux et l’ouvrit pour se trouver nez à nez avec Newton, elle avait eut un sourire amusé, puis, elle avait ranger ce petit gâteau pour plus tard dans la matinée. Elle referma doucement son sac avant de relever les yeux vers Sandrine en lui adressant encore une fois un sourire avant de lui faire une petite proposition d’une voix calme :

« Tu veux qu’on aille marcher un peu avant le début des cours ? Une marche digestive ou quelque chose comme ça... »

Iris remis simplement la bandoulière de son sac sur son épaules en attendant la réponse de la jeune fille d’un autre monde. Sandrine était peut-être la première personne à qui elle parlait depuis qu’elle était arrivée ici… sauf sa camarade de chambre, mais cela était rester… étrangement formel… Enfin, elle ne voulait juste plus y penser pour le moment, c’était déjà bien assez compliqué comme ça.

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Sandrine | Libre

Mardi 1er septembre 2020

Une chose est sûre, Sandrine se doutait bien que les élèves d'Auradon Prep allaient être curieux concernant le monde réel tout comme certains allaient être méfiants. La nouveauté pouvait faire peur et en général, ceux qui avaient pas mal de préjugés pouvaient être réticents à côtoyer des jeunes d'un autre monde. A tout moment, la jeune fille s'attendait à voir débarquer un Chad ou une Audrey 2.0, prêts à jeter du venin sur les nouveautés n'étant de l'univers de Disney. Elle s'attendait même à ce que ce soit encore le cas pour quelques-uns de l'île des Perdus.

Iris lui raconta que leur monde avait tout de même pas évoluer niveau technologie, ce qui était une bonne chose. Il n'y avait qu'à Camelot, de source sûre, qu'ils étaient encore au moyen-âge, Arthur se méfiant de la technologie et autorisant encore la magie. Sandrine le comprenait un peu. Il y avait certaines choses qu'elle ne ferait jamais sur internet par exemple : s'acheter des trucs par le net. Et puis, il fallait se méfier aussi sur qui on tombait car tout le monde ne connaissait pas l'identité de tout le monde. On pouvait faire de mauvaises rencontres.

« Et bien, je suppose que tu dois bien en profiter maintenant que tu es parmi nous… A moins que ce rêve t’ai abandonnée bien sûr. »
- Ah non, je l'ai toujours ! Je trouve juste dommage que la Bête vous ai fait renoncer à la magie. Il a vraiment rien compris cet imbécile !

Oui, elle était plutôt critique sur ce sujet. Il était un imbécile avant d'être transformé en bête et une fois sauvé par Belle, il ne trouvait rien de mieux que d'interdire la magie.

- La magie n'est pas que mauvaise. Elle peut être bienveillante et utile pour certaines choses. T'imagines s'il y avait une nouvelle Cendrillon, ici, quelque part, qui voudrait aller au bal mais qui ne peut pas. Pas de marraine la bonne fée, pas de magie, pas de robe de bal et tout le tralala ... Pas de bal ... Pas de prince ... Pas de fins heureuses !

Tout en parlant, la brune prit un air triste, presque grave. Tout ce qui faisait la beauté de la magie était gâché par les mauvaises actions des autres.
- J’espère que Mal et Ben vont changer ça !

Et si fallait quelqu'un pour les engueuler, leur dire qu'ils allaient trop loin, elle le ferait mais avec plaisir. Après tout, elle avait un meilleur regard extérieur qu'eux. Elle vivait dans un monde dépourvu de magie, avait vu tous les Disney dont "La belle au bois dormant" et "La Belle et la Bête".

« Tu veux qu’on aille marcher un peu avant le début des cours ? Une marche digestive ou quelque chose comme ça... »

La jolie blonde avait remis sa bandoulière sur son épaule, prête pour sortir. Après tout, elles avaient fini toutes les deux de prendre leur déjeuner. Un peu d'air ne leur ferait pas de mal avant les débuts des cours.

- Oui, je veux bien.

La Belge se leva, mit son sac à dos sur son épaule et prit son plateau pour le mettre en place. Elle vit rapidement une sorte d'armoire pour récupérer les plateaux utilisés. Elle alla y déposer le sien. C'est en se retourner vers sa nouvelle amie qu'elle remarque que cette dernière était à pieds nus. Oui, il n'y avait pas de doute. Iris était la fille de Raiponce.

- On y va ? lâcha-t-elle en faisant un grand sourire.

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Iris étais curieuse, oui, mais bon, il ne fallait pas oublier que c’était la première fois qu’elle quittait le territoire de Corona. Enfin ! Maintenant elle était à Auradon et c’était bien parti pour durer longtemps ! Pour le moment, tout avait l’air de bien se passer, mais elle ne savait pas ce qu’il en serait dans les prochains temps. Et puis, ce n’était pas vraiment le moment d’y penser, pour le moment, elle était en train de papoter joyeusement avec Sandrine. Cette dernière lui avait d’ailleurs fait part de son rêve de vivre dans un tel monde. La fille de Raiponce s’amusant à lui dire que c’était le cas maintenant. Elle avait maintenant dit qu’elle trouvait dommage que la Bête ait bannit la magie et elle se retint de justesse d’avoir un geste pour porter la main à ses cheveux. Elle se contenta donc simplement de hausser les épaules.

« La magie peut être bonne, comme mauvaise, mais il y aura toujours des gens pour s’en servir à mauvais escient je suppose… Le moyen le plus simple était de complètement l’interdire, pour éviter l’émergence de nouveau méchants... »

Elle ne savait pas bien si c’était vrai à cent pour cent, mais en tout cas, elle tentait de se faire aussi honnête que possible quand à ce qu’elle pensait. Cependant, Sandrine avait raison, sans magie pas de nouvelle Cendrillon ou d’autres personnes dans le genre...Elle comprenait son point de vue, mais c’était compliqué. La fille d’un autre monde avait alors dit qu’elle espérait que Mal et Ben allaient changer ça et, encore une fois, la blonde ne savait pas vraiment quoi penser de tout ça. Ils seraient probablement trop occuper pour penser à ce genre de choses. Ils n’avaient même plus le temps pour leur propre mariage, les pauvre, elle avait presque pitié pour eux.

Quoi qu’il en soit, elles avaient terminés leurs repas du matin et Iris avait donc proposé qu’elles aillent se promener un peu avant le début des cours. Ce que Sandrine avait accepté et la blonde avait alors laissé un sourire se poser sur ses lèvres. Puis, le sac sur l’épaule, elle s’était emparée de son plateau. Elles étaient alors allé posé les plateaux pour qu’ils puissent ensuite passer à la vaisselle. Puis, elle avait pris un chemin pour sortir de la cafétéria. Une fois son plateau posé, la blonde avait simplement remis son sac plus convenablement sur son épaule avant de sourire à nouveau à son amie.

« C’est parti ! »

Iris souriait joyeusement à sa nouvelle amie, en tout cas, c’était comme ça qu’elle la considérait d’or et déjà. De toute façon, elle ne voyait vraiment pas pourquoi elles ne seraient pas amies toutes les deux. Oui, Iris était du genre optimiste à ce niveau, mais elle tenait probablement ça de sa mère… Bref, le silence commençait à s’installer depuis trop longtemps maintenant alors la jeune femme s’éclaircit légèrement la gorge

« Alors, dis moi Sandrine. Tu t’habitue à notre monde ? Ce n’est pas trop difficile pour toi de te faire à cette vie en attendant une autre solution. »

Elle parlait en avançant en marche arrière pour pouvoir regarder Sandrine tout en continuant à avancer tranquillement. Bon, à tout moment, elle risquait de se casser la figure, mais pieds nus elle pouvait plus facilement sentir le moindre obstacle qui pouvait se dresser sur son chemin. Enfin, pour le moment, la fille de Raiponce était d’une humeur resplendissante.

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Sandrine | Libre

Mardi 1er septembre 2020

Iris haussa les épaules, disant que la magie était bonne mais mauvaise aussi tant que les gens s'en servaient à mauvais escient. Cependant, elle pensa que ça serait plus simple de l'interdire. Sandrine réalisa que leur point de vue différait un peu mais en même temps, elles n'étaient pas du même monde.

- Je crois pas que l'interdire complétement serait une solution pour éviter de créer des méchants. La fille de la Belle au bois dormant a été une nouvelle méchante le temps d'une journée à cause de sa jalousie sur Mal !

En plus, c'était le jour de l'anniversaire de Jane. Audrey aurait pas pu choisir un autre jour pour piquer sa crise de jalousie de princesse pourrie gâtée ? En plus, Jane était normalement sa meilleure amie. Tu parles d'une amie !

Les deux nouvelles amies s'étaient donc levées pour ranger leurs plateaux et sortir du réfectoire. La brune ne put s'empêcher de jeter parfois un œil sur les pieds nus d'Iris mais finit par reporter son attention sur le visage de celle-ci.

« Alors, dis moi Sandrine. Tu t’habitue à notre monde ? Ce n’est pas trop difficile pour toi de te faire à cette vie en attendant une autre solution. »
- Un peu ! A vrai dire, ma famille me manque beaucoup.

Oui, c'était difficile pour elle d'être loin de ses parents et de ses grands-parents. Il n'y avait personne pour la rassurer, ni pour lui remonter le moral comme le faisait son grand-père. La seule chose qui lui remontait un peu plus le moral, c'était le fait qu'elle était en compagnie de ses héros d'enfance. Enfin, certains mais ils n'étaient pas à Auradon Prep mis à part Jane et Carlos.

- Et toi ? Tu t'habitues à ce changement d'école ? Tu allais déjà à l'école à Corona ou pas ?

Elle avait une folle envie de lui demander si elle était bien la fille de Raiponce mais pourquoi poser la question quand au fond de soi, on connaissait déjà la réponse.

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Iris écoutait ce que disait la jeune femme. Elles avaient beau ne pas être du même avis, cela ne les empêchait pas pour autant de discuter. Sandrine lui disait alors qu’elle ne croyait pas que l’interdire complètement serait la solution, après tout Audrey était passé temporairement du coté des méchants. La blonde baissa les yeux et se mordit la lèvre inférieure avant de reprendre la parole, un peu mal à l’aise :

« Tu sais, je peux comprendre Audrey… Elle avait battit son rêve depuis son enfance et en à peine quelques mois tout à voler en l’air et son futur est tout à coup devenu incertain. Elle a dû avoir peur… Et c’est ce qui l’a perdue. Enfin, cela ne l’excuse pas bien sûr et je ne cherche pas à justifier qu’elle soit allée aussi loin, mais je peux comprendre. Personnellement je ne cherche pas à croire en le moindre avenir, comme ça, je suis sûre que je ne serait pas déçue ! »

La jeune femme avait alors simplement haussé les épaules. Oui, ne pas trop avoir de prévision pour l’avenir pour ne pas être déçue. Quoi qu’il en soit, le repas était terminé et elles s’étaient donc délestées de leurs plateaux. Iris ne prenait même pas attention au regard de Sandrine sur ses pieds, elle était habituée à ce genre de réflexe, même si les gens de Corona commençait à avoir l’habitude avec sa mère avant elle. Elle avait cependant demander à la brune si elle arrivait à se faire à Auradon. Cette dernière lui avait alors révélé que sa famille lui manquait beaucoup et la jeune femme avait alors simplement hocher la tête en lui adressant un sourire plein de douceur encore une fois.

« Ne t’en fais pas, je suis sûre qu’on trouvera un moyen de vous renvoyer cher vous et que tu pourras retrouver ta famille. »

Elle lui aurait bien poser une main sur l’épaule, mais elle s’en abstint, reprenant simplement sa marche aux cotés de Sandrine alors que cette dernière lui demandait maintenant si ce n’était pas trop dur pour elle de changer d’école, avant de lui demander si elle allait à l’école quand elle était à Corona et la blonde avait légèrement laisser une petite toux ressentir avant de hausser les épaules et de lui répondre :

« Et bien… J’avais un précepteur pour certains cours, mais la majorité de ce que j’ai pu apprendre m’a été appris par mes parents et mes grands-parents maternels. Et je dois avouer que pour le moment, je suis assez contente de voir autre chose que Corona, je commençais à me sentir un peu étouffée.»

Oui, c’était sa famille qui lui avait appris la plupart des choses qu’elle savait, sa famille, mais aussi les livre qu’elle avait pu lire depuis longtemps maintenant. Oui, à l’occasion il faudrait qu’elle aille faire un petit tour à la bibliothèque à l’occasion. Enfin, ce n’était pas le moment de penser à tout ça pour le moment.

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Sandrine | Libre

Mardi 1er septembre 2020

Le sujet dévia un instant sur Audrey et du point de vue de chacune des deux filles. Il est vrai que Sandrine était fort critique envers la fille d'Aurore. La Belge n'avait vu en elle qu'une fille arrogante, prétentieuse, pourrie et gâtée et aussi un tantinet capricieuse. Elle ne faisait preuve d'aucune bienveillance au contraire de sa mère. Iris, de son côté, avait un tout autre point de vue que la brune respectait.

« Tu sais, je peux comprendre Audrey… Elle avait battit son rêve depuis son enfance et en à peine quelques mois tout à voler en l’air et son futur est tout à coup devenu incertain. Elle a dû avoir peur… Et c’est ce qui l’a perdue. Enfin, cela ne l’excuse pas bien sûr et je ne cherche pas à justifier qu’elle soit allée aussi loin, mais je peux comprendre. Personnellement je ne cherche pas à croire en le moindre avenir, comme ça, je suis sûre que je ne serait pas déçue ! »

C'est vrai que Sandrine n'avait pas pensé à la peur d'un avenir incertain pour Audrey. Elle ne l'avais jugée que pour ses actes et les pressions de sa grand-mère, la reine Leah. Et puis, quelle idée de tout planifiait de l'avenir de sa petite fille au lieu de la laisser décider. Ce n'était pas parce qu'Aurore et Philippe ont finir ensemble alors qu'ils étaient fiancés depuis la naissance de la Belle au bois dormant que cela aurait été le cas pour Audrey et Ben. Déjà, ces deux-là sortaient ensemble comme tout adolescent plus ou moins ordinaire. Mais il n'y avait pas d'amour contrairement à Philippe et Aurore. Ils ne s'étaient jamais vu même si le prince l'avait déjà rencontrée enfant mais ils n'avaient aucune idée qui était l'autre. Cela prouvait qu'ils étaient faits l'un pour l'autre. Audrey et Ben, non. Même Belle ne pouvait pas supporter Audrey avec son sourire d'hypocrite. Voilà pas mal de chose dont Sandrine reprochait à celle-ci. Une bonne éducation, certes mais aucune humilité, ni modestie et aucun respect ni tolérance envers ceux qui sont différents d'elle.

« Ne t’en fais pas, je suis sûre qu’on trouvera un moyen de vous renvoyer cher vous et que tu pourras retrouver ta famille. »

Sandrine sourit à cette idée. Oui, Ben et Mal allaient finir par trouver une solution. On était dans l'univers de Disney. Les histoires se terminaient toujours bien. Cela ne pouvait être autrement.

« Et bien… J’avais un précepteur pour certains cours, mais la majorité de ce que j’ai pu apprendre m’a été appris par mes parents et mes grands-parents maternels. Et je dois avouer que pour le moment, je suis assez contente de voir autre chose que Corona, je commençais à me sentir un peu étouffée.»
- Si jamais t'as envie de te changer un peu les idées entre deux cours, tu peux venir me voir !

Qui sait ? Elle pourrait lui laisser lire ses histoires afin d'avoir un avis constructif. En attendant, Iris n'avait toujours pas dit qui étaient ses parents mais cela n'avait plus d'importance. Sandrine était persuadée que c'était bien Raiponce. Il y avait trop d'indices qui le confirmaient. Ne t'en fais pas Raiponce, ta fille est entre deux bonnes mains.

▲▼ Petite rencontre autour d'un carnet

En parlant d’Audrey, Iris se dit qu’elle était heureuse que ses parents ne lui ait pas choisit de prétendant… Enfin Raiponce ayant épousée un voleur, elle ne se le serait probablement pas permis. Un sourire amusé s’était posé au coin de ses lèvres alors qu’elle s’était mentalement faite cette réflexion. En tout cas, elle avait beau être une princesse assez simple, elle n’échangerait sa place avec Audrey pour rien au monde. Quand à ce que Sandrine retourne chez elle, la blonde lui avait assuré que ce serait le cas et qu’ils trouveraient une solution. Enfin, elle disait ça et elle n’en doutait pas une seconde… Mais elle n’avait pas la moindre idée de comment ils allaient faire.

Bien sûr, il revenait à Mal et Ben de gérer la situation… Les pauvres, le poids de leur règne au dessus de tout les autres royaume devait tellement peser sur les épaules, ce ne devait vraiment pas être simple. Elle, elle se sentait à peine capable de régner un jour sur Corona… Enfin, elle savait qu’elle n’aurait pas vraiment le choix d’au moins participer à la direction du royaume. En attendant, elle avait évoqué l’éducation qu’elle y avait reçu. Sandrine lui avait alors proposé de venir la voir si elle avait envie de se changer les idées entre deux cours et la jeune femme avait alors simplement sourit. Oui, elle était sûre qu’aller la voir entre deux cours serait vraiment agréable. Elle pourrait même faire un portrait d’elle. Oh, oui, bien sûr, elle pourrait très bien faire ce portrait de tête, elle le faisait souvent, mais il serait plus précis ainsi. Enfin, ce n’était pas vraiment la question pour le moment.

« Ce sera avec plaisir que j’accepte ta proposition Sandrine. D’ailleurs, toi non plus n’hésite pas à venir me trouver si tu en as envie, ce sera avec plaisir que je passerais du temps avec toi ! Hey ! Peut-être que tu pourras me faire visité un peu les alentours si tu as pu visiter un peu les alentours depuis que tu est là. »

Oui, bon, elle s’emballait peut-être un peu trop, mais elle n’y pouvait rien, c’était encore une fois quelque chose qu’elle tenait de sa mère… Peut-être qu’elle avait passé trop de temps à ses cotés finalement. La jeune femme s’était alors passé une main dans la nuque, un peu amusée et n’avait pas insisté plus longtemps que ça. Elle réalisait qu’elle en faisait peut-être un peu trop et elle haussa simplement les épaules.

« Désolée, je me laisse peut-être un peu trop emballer par mon enthousiasme, héhé, mais… On peut dire que tu es la première personne avec qui je me lie d’amitié depuis que je suis arrivée à Auradon. »

Elle lui adressa un sourire presque timide avant de continuer à avancer. Elle s’accordait en même temps quelques instants de réflexion. Puis, finalement, la blondinette avait repris la parole en souriant.

« Tu sais, si tu es encore là quand je retournerait chez moi, tu pourras m’accompagner si tu veux. Je suis sûre que ma mère serait enchantée de vous rencontrer. »

Encore une fois, elle avait laisser un sourire se poser sur ses lèvres en laissant son imaginer déjà visualisé la scène.

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Nouvelle vie et nouvelle rentrée

Sandrine | Libre

Mardi 1er septembre 2020

« Ce sera avec plaisir que j’accepte ta proposition Sandrine. D’ailleurs, toi non plus n’hésite pas à venir me trouver si tu en as envie, ce sera avec plaisir que je passerais du temps avec toi ! Hey ! Peut-être que tu pourras me faire visité un peu les alentours si tu as pu visiter un peu les alentours depuis que tu est là. » fit Iris.
- Oh, j'ai pas visité beaucoup. Y a juste l'école, le lac enchanté et un peu le centre ville. J'ai même pas fait le musée.

Et pourtant, il avait été tout en haut de sa liste des lieux à visiter à Auradon mais elle n'avait pas eu trop le moral pour tout faire. Même le château, qui fut celui de la Bête dans l'histoire de "La Belle et la Bête", elle ne l'avait pas visité complétement. Il y avait bien cette fameuse ancienne chambre de la Bête à l'aile ouest qui la tentait mais non. Pas le moral. Juste l'envie d'écrire pour se changer les idées et prendre l'air. Malgré tout, il y avait la bibliothèque quand elle en avait eu marre de sa chambre.

La princesse de Corona s'excusa ensuite pour son enthousiasme, avouant que Sandrine était la première personne avec qui elle se lier d'amitié. Cela surprit la Belge mais en même temps, ça lui fit plaisir.

- Mais t'as pas à t'excuser. J'étais pareille que toi quand il y a quelques années.

Cette ancienne facette de sa personnalité lui manquait parfois mais Sandrine avait grandi. Elle était devenue moins naïve, plus critique et plus méfiante. En même temps, c'était comme ça le monde réel. C'était pour cela qu'elle s'enfermait parfois dans un monde où tout se passait comme elle voulait, où elle était toujours gagnante et où régnait la magie.

Les deux filles continérent à avancer tout en parlant ou se faisant mentalement quelques réflexions en silence.

« Tu sais, si tu es encore là quand je retournerait chez moi, tu pourras m’accompagner si tu veux. Je suis sûre que ma mère serait enchantée de vous rencontrer. »

Un grand sourire apparut sur le visage de Sandrine. Elle adorerait visiter Corona et rencontre Raiponce et Eugène. Y compris Cassandra aussi.

- Oh, ça serait trop génial ! Mais on est bien d'accord sur un point, ta mère, c'est bien Raiponce hein ?

Oui, bon, elle n'avait pas attendu mais il fallait tout de même vérifier.

▲▼ Petite rencontre autour d'un carnet

Ah euh… Zut alors, elle n’avait pas vraiment visité. Bah, elles pouvaient le faire ensembles probablement. Elle ne pensait pas que sa cousine éloigné lui en voudrait. Iris avait alors simplement hausser les épaules avant de reprendre la parole :

« Et bien, euh… C’est déjà plus que moi à dire vrai… Je connais juste une partie de l’école et encore pas très grande. »

Iris avait alors remis correctement son sac sur son épaule, passant simplement d’un pied sur l’autre, avec calme. Enfin la blonde se rendait bien compte qu’elle avait peut-être un peu trop d’enthousiaste. Iris n’avait pas beaucoup d’amis, bien sûr, Elle ne considérait pas les amis de ses parents ou sa famille même éloignée comme des amis, c’était juste autre chose. Quoi qu’il en soit, Sandrine lui avait dit qu’elle n’avait pas à s’excuser, ajoutant même qu’elle était pareille qu’elle quelques années plus tôt. Encore une foi, la blonde lui adressa un sourire. En attendant, elles continuaient à avancer toutes les deux en discutant. Puis, sans crié gare, Iris proposa à Sandrine de l’accompagner à Corona quand elle retournerait voir sa famille… Bien entendu, uniquement dans le cas où elle ne serait pas rentrer chez elle d’ici là. D’ailleurs, Sandrine semblait elle aussi se réjouir quand à tout cela. Puis, elle lui avait alors très rapidement demander si sa mère était bel et bien Raiponce et Iris avait laisser un éclat de rire cristallin avant de hocher la tête.

« Oui, c’est bien ma mère. Je l’adore tu sais maman. Elle me comprend quand je veux aller explorer et tout ça. Pourtant, ça ne lui a pas toujours réussit à elle. »

Oui, mais d’un autre coté, Raiponce savait ce que ça faisait d’être enfermée et ne le souhaitait certainement pas pour son enfant. Les pieds nues d’Iris remuaient simplement sur le sol, presque dans un pas dansant. Et voilà, elle se laissait encore une fois gagner par son enthousiasme. Elle n’y pouvait rien, c’était juste plus fort qu’elle. En tout cas, elle était sûr que si Raiponce voyait Sandrine, elle allait lui poser mille et une question sur son monde. Elle-même, elle se retenait de les poser ces questions. Peut-être plus tard, la réponse ne viendrait pas demain, elles auraient probablement l’occasion de se croiser à nouveau à un moment où à un autre. En attendant, la princesse de Corona avait bien envie de parler avec lui, le plus tranquillement du monde. Enfin, du moment, qu’elle ne lui posait pas de question sur les éventuels pouvoir de sa chevelure, elle n’allait pas se plaindre. Mais il y avait quand m^mee un point qui la surprenait :

« Alors tu as déjà entendu parlé de me parents ? »

Elle ne comprenait pas encore vraiment le rapport entre les deux monde et le fait que l’ont connaissait leurs histoires dans le monde d’où venait Sandrine. C’était un peu compliqué à saisir pour la petite princesse et pourtant elle était très curieuse quand à tout cela. La curiosité était un vilain défaut, mais tant pis si cela lui posait des ennuis, pour le moment, elle voulais simplement savoir.

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Nouvelle vie et nouvelle rentrée

Sandrine | Libre

Mardi 1er septembre 2020

Iris avoua qu'elle ne connaissait juste qu'une partie de l'école. Cela fit penser à Sandrine qu'elle devrait visiter un peu plus le monde d'Auradon, y compris l'île de l'Oubli. Bon, les méchants avaient encore leurs mauvaises habitudes mais cela devait en valoir la peine de voir l'île en elle-même. Et puis, le bateau d'Uma devait être cool. La petite blonde lâcha un petit rire cristallin avant de confirmer.

« Oui, c’est bien ma mère. Je l’adore tu sais maman. Elle me comprend quand je veux aller explorer et tout ça. Pourtant, ça ne lui a pas toujours réussit à elle. »

Cela n'étonna pas trop la brune. C'était d'ailleurs ça qu'elle aimait chez raiponce, son désir de découvrir le monde qui l'entoure et voir du positif dans tout et rien. Cela arrivait parfois que la jeune fille regarde la série sur Disney Junior (et sans aucune honte devant sa mère mais par contre, devant son père, elle n'osait pas trop). La petite princesse lui demanda alors si elle avait déjà entendu parler de ses parents.

- Oui. Dans mon monde, elle est l'une des princesses les plus connues de tout l'univers de Disney enfin d'Auradon. Fin, je t'expliquerai un de ces quatre c'est quoi Disney.

Lui expliquer maintenant lui prendrait sans doute trop de temps. Surtout que les cours n'allaient plus tarder à commencer à en croire l'heure indiquée sur sa montre.

▲▼ Nouvelle vie et nouvelle rentrée

Iris se laissait un peu emporter quand elle parlait de sa mère, mais c’était comme ça et elle rêvait qu’un jour elle partirait à l’aventure avec elle. Ni Raiponce, ni sa fille n’était vraiment un modèle de princesse après tout. Curieuse de voir Sandrine parler de sa mère, elle lui avait tout de même demander si elle connaissait ses parents. La brune lui avait alors dit que dans son monde, sa mère était une des princesses les plus connues de tout l’univers de Disney… C’était quoi, Disney ? Elle n’en avait pas la moindre idée, mais déjà elle se rattrapait pour parler d’Auradon et Iris allait la questionner, mais elle n’en eut pas le temps. Sandrine lui assura qu’elle lui expliquerait ce qu’était Disney un de ces quatre. Hum ! C’était frustrant de ne pas avoir de réponse à sa curiosité maintenant, mais bon.

« Je euh… D’accord. Je compte sur toi pour ne pas oublier, hein. Je suis vraiment curieuse quand à ce Disney. »

Oui, et elle allait allait probablement faire quelques recherches à ce sujet. Disney, elle ferait de son mieux pour s’en souvenir. Machinalement, elle bifurqua pour que leur chemin les ramène maintenant en direction du bâtiment où se déroulait la grande majorité des cours. Et voilà, elle sentait à nouveau une certaine excitation poindre en elle. Iris avait hâte de voir ce qu’il allait se passer, c’était probablement bien loin de ce que ses précepteurs avaient pu lui apprendre jusqu’à maintenant. Oui, Auradon Prep serait sans aucun doute différent et pas seulement parce qu’elle était en internat ici. Et voilà, son esprit partait dans tout les sens, c’était plus fort qu’elle. La jeune femme avait alors profondément inspiré pour se ramenée au calme. Elle savait que Newton devait être en train de se trouver une place confortable dans son sac, elle espérait qu’il se tiendrait tranquille pendant tout le cours.

« Les cours ne vont plus trop commencer maintenant. Tu sais où se trouve la salle dans laquelle tu as cours ? »

Lui demanda-t-elle en se mordillant doucement la lèvre inférieur sans trop savoir ce qu’elle pourrait faire d’autre. Alors elle attendit la réponse à sa question en continuant simplement à avancer, calmement.

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