Kylian | Dancing with the moonlit knight

Kylian

   Fils de Lady Kayley et Sir Garrett
   Nom complet → Kylian Lionel (pas de nom de famille)
   Surnom(s) → Lian
   Âge → 16 ans
   Mon histoire d'origine → Légendes Arthuriennes (Quest for Camelott)
   J'y suis → Le fils de Lady Kayley et Sir Garrett
   Métier/fonction → Etudiant
   Titre → Aucun titre, mais s'il est adoubé il sera "Sir" à l'âge adulte
   Statut matrimonial → Il est toujours en couple, rarement avec la même fille. Enfin, si on peut appeler ça "en couple". C'est bien simple, il passe un temps énorme à draguer les jolies princesses pour qu'on ne remarque pas qu'il s'intéresse plus à ces messieurs.

   Dans mon sac →
Julian possède bien sûr une épée, un bouclier et une armure, ainsi qu'une lance, mais ne les met pas dans son sac et ne les transporte pas tout le temps, surtout à l'école.
- Un arc et des flèches (enfin pas dans le sac, mais sur lui)
- Quelques pommes (pour son cheval Grail, qui adore les pommes)
- Une dague
- Une petite boîte à musique qu'il cache dans une double poche au fond de son sac, qui quand on l'ouvre libère un prince et une princesse en train de danser une valse)
- Il est accompagné de Saoirse, une femelle faucon, fille d'Aiden, le faucon de son père.
   Capacité(s) →
- Kylian s'entraîne pour devenir chevalier, donc évidemment, il sait monter à cheval, se battre avec une épée et un bouclier, à mains nues et à la lance.
- Il sait aussi tirer à l'arc et à l'arbalète.
- Son père l'a entraîné à combattre et à viser les yeux bandés ou dans le noir.
- Il sait nager.
- Il est bon danseur, d'ailleurs il est bon en étiquette et a très bien compris tous les codes pour faire la cour aux dames.
- Il chante très bien, même s'il ne le laisse pas entendre aux autres.
- Il est bon acteur et ment assez facilement, puisque ça fait des années qu'il joue un rôle dans lequel il ne se reconnaît pas.

   Célébrité → Jonathan Whitesell
   Crédit des images de la fiche → Illustration des articles de "The 100.fandom" et "Riverdale.fandom"
   

☞ A savoir
- Kylian a le vertige, il lui est donc difficile de monter sur quoi que ce soit de plus haut que Grail, son cheval (mais il fera de son mieux pour ne pas le montrer, car un chevalier ne se montre jamais lâche).
- Il est absolument obsédé par la préservation des apparences, persuadé que ses parents seraient anéantis s'ils savaient la vérité. Dans ce but, il drague pour ainsi dire toutes les filles à qui il parle.
- Quand il avait 14 ans, il s'est cassé le genou en joute lors d'un "tournoi de jeunes", mais a fini la compétition avant de signaler sa blessure (qui a bien sûr été soignée par magie, donc il n'a pas de séquelles), refusant simplement de descendre de cheval entre ses joutes.
- Il a une tâche de naissance sur l'épaule gauche. Elle représente une étoile filante, et secrètement il aime bien cette idée, mais si on lui demande, il prétendra qu'il s'agit d'un fléau d'armes.
- Il déprime s'il n'a pas l'occasion de danser souvent la nuit, même si ce n'est que dans sa chambre. Par contre, il n'ose que très rarement chanter, il veut vraiment s'assurer d'être seul.

   ☞ Psychologie Un chevalier doit être juste, protéger les faibles, défendre le bien, et faire preuve de courage en toutes circonstances, même au péril de sa vie. Il doit être loyal aux siens, et surtout à son seigneur, et ne jamais mentir, car sa parole est sacrée. Il doit être courtois, généreux et charmant. Et je crois que, si l’on interrogeait les gens qui ont côtoyé Kylian, même ses propres parents, tous s’accorderaient à dire que Kylian incarne pertinamment, par sa personnalité, toutes les vertus qui font un parfait chevalier.

Le fait est que même sa propre famille ne voit pas à travers ce rôle qu’il s’applique à jouer. S’il a tendance à croire aux valeurs de la chevalerie, il ment en permanence, puisqu’il s’applique à jouer le rôle du parfait petit chevalier pour dissimuler ses vraies inclinations. Il joue le chevalier joli coeur, enchaînant les conquêtes comme des bonbons, pour cacher qu’au fond, il est plutôt timide. Il n’aime pas vraiment se battre, même s’il apprécie le tir à l’arc. Et, même s’il n’hésiterait pas à affronter une bête féroce pour protéger quelqu’un, il ne se considère pas comme courageux, parce qu’au fond de lui, il est pété de trouille à l’idée de se retrouver un jour démasqué.

   
    Ici Runa !   Hâte de débarquer avec ce DC. ^^
Oh, et s'il vous plaît, privilégiez les mps à "Runa d'Arendelle" qu'à Kylian. Merci ! ^^
   

Mon histoire

   « Je veux devenir chevalier, vivre de grandes aventures. Lutter contre le mal, secourir des damoiselles en détresse. C'est quoi, une damoiselle, au fait ? » - Ca, ce n'est pas mon rêve. C'était celui de ma mère.
   
   

Mes parents ont toujours su qu’ils voulaient devenir chevaliers. Mon père, Garrett, était un jeune écuyer aspirant à devenir chevalier, mais dont les rêves ont été arrêté net par un tragique accident dans les écuries, qui lui a coûté la vue et l’a poussé à s’exiler dans la forêt. Ma mère, Kayley, a grandi en voyant son père quitter régulièrement leur ferme en direction de Camelot, pour y servir le roi Arthur à la able ronde, et a toujours rêvé de rejoindre un jour les rangs des chevaliers.
Un chevalier au coeur corrompu, Ruber, insatisfait des terres qui lui avaient été accordées, a un jour tenté d’assassiner le roi Arthur pour usurper son trône. Les chevaliers ont tenté de protéger leur souverain, et Sir Lionel, mon grand-père, est mort pour le sauver. Arthur a vaincu Ruber, qui a fui en exil, en jurant de revenir pour se venger.
Le roi Arthur a honoré la mémoire de Sir Lionel en grande cérémonie, en promettant à sa veuve, Lady Juliana, ma grand-mère, qu’elle pourrait toujours trouver secours à Camelot. Et ma mère, Kayley, a grandi sans jamais oublier son rêve.

Un jour, un griffon s’est introduit dans la tour de la table ronde pour y dérober Excalibur, blessant Arthur. Il a été attaqué par un faucon aux ailes argentées nommé Aiden, et a perdu l’épée dans la Forêt Interdite. En entendant les trompes qui signalaient la disparition d’Excalibur, ma mère a voulu partir à la recherche de l’épée, mais Lady Juliana le lui a interdit, refusant de perdre sa fille en plus de son mari.
Quelques temps plus tard, Ruber et ses mercenaires ont envahi la demeure de ma famille et kidnappé ma grand-mère et ma mère afin de les utiliser pour s’introduire dans Camelot. Ruber a exposé son plan, qui consistait à utiliser une potion magique pour combiner ses soldats avec des poulets. Heureusement, ma mère a réussi a s’échapper, et en apprenant qu’Excalibur était dans la forêt, elle est partie à sa recherches.
Poursuivie par les hommes de main de Ruber, elle a été sauvée par mon père, Garrett, qui les a piégés dans ses pièges. Il était toujours aveugle, et vivait en hermite dans la forêt, avec son faucun Aiden. Celui-ci lui avait appris la préence d’Excalibur, et il voulait la chercher sans Kayley, mais elle ne lui a pas laissé le choix. Il a accepté sa compagnie en la supportant tant bien que mal, malgré sa méconnaissance totale de la forêt.
Mes parents ont fini par arriver au Pays des Dragons, où ils ont rencontré des dragons siamois, Devon et Cornwall, qui rêvaient d’être séparés et ne s’intégraient pas parmi les dragons car ils étaient petits et ne pouvaient ni voler, ni cracher du feu. Ils ont protégé mes parents d’une attaque de dragons et de Ruber, au prix d’un banissement, et mes parents ont donc accepté de les emmener avec eux.

Ce soir-là, mon père a voulu campé et, même si ma mère n’était pas partante, il a obtenu gain de cause. Ils ont parlé et il s’est confié à ma mère sur son accident, ce fâcheux incendie dans les écuries, et la blessure par un cheval alors qu’il essayait de les sauver. Il lui a raconté a quel point Sir Lionel avait cru en lui, et l’avait entrainé, et sa décision de s’exiler à la mort de celui-ci. Il lui a aussi parlé d’Aiden, qui l’avait rejoint dans la forêt et lui avait appris à survivre.
Le lendemain, ils ont trouvé la ceinture d’Excalibur dans les empreintes d’un ogre et, en l’absence de l’épée, ma mère a reproché à mon père d’avoir tenu à s’arrêter pour camper. Distrait, mon père a manqué les avertissement d’Aiden et a été blessé par une flèche des mercenaires. Grâce à l’aide d’arbres magiques et à la réactivité de ma mère, ils ont pu s’enfuir. Elle l’a emmené dans une grotte et l’a veillé en s’excusant, mais il lui a pardonné, et ils sont tombés amoureux peu à peu. La forêt l’a guéri.
Le lendemain, ils ont trouvé le fourreau de l’épée et ont traqué excalibur jusqu’à un ogre qui l’utilisait comme cure-dent. Ils ont réussi à la voler et à utiliser l’ogre pour distraire Ruber, leur permettant d’échapper à la forêt. Mon père a laissé l’épée à ma mère pour qu’elle la ramène seule à Excalibur, ne se sentant pas à sa place là-bas, et craignant qu’à Camelot, elle ne le voie jamais comme un chevalier. Mais elle a été capturée par Ruber. Il lui a pris Excalibur et l’a fusionnée à son bras à l’aide d’une potion. Il a aussi utilisé ma mère pour forcer Lady Juliana à lui donner accès à Camelot. Devon et Cornwall ont tout vu et sont partis prévenir Garrett, qui est bien évidememnt revenu à son secours.

A l’intérieur de Camelot, ma mère, enfermée dans la charrette, est parvenue à vaincre l’un des mercenaires et a été libérée par le mercenaire-poulet. Elle a donc prévenu les chevaliers du piège, et le combat a été engagé. Garrett, Devon et Corwnall l’ont sauvée des mercenaires, et mes parents sont entrés dans le chateau par un passage secret menant à la table ronde, tandis que Devon et Corwnwall apprenaient enfin à travailler ensemble, en volant et crachant du feu. Ils sont parvenus à protéger Aiden du griffon.
Ruber a tenté de tuer Arthur, toujours blessé, en se vantant du meutre de Sir Lionel, mais ma mère l’a envoyé valser par la fenêtre en le frappant avec une planche sur la tête. Elle a ensuite tenté d’attirer Ruber vers la pière d’Excalibur. Mon père a tenté de la protéger mais, sans Aiden, il a perdu son baton. En travaillant ensemble, mes parents sont parvenus à piéger Ruber, le forçant à remettre Excalibur dans la pierre. Celle-ci a émis une vague de magie qui a soigné tous les blessés, délivré les mercenaires-poulets, séparé les dragons (qui ont décidé de rester ensemble finalement) et détruit Ruber, ne laissant que l’épée purifiée et intacte qu’Arthur a pu réclamer.
Et donc, une fois Camelot ramené à sa gloire d’antan, le roi Arthur a adoubé mes parents, qui ont dansé et échangé leur premier baiser.

Et ils se marièrent, ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants, pas vrai ?
Ah non, pas beaucoup. Un seul. Moi.

Un fils en plus, quoi ! Alors évidemment, j'ai grandi en entendant des histoires mes parents - et sur les autres chevaliers de la table R
ronde - de tous les côtés !
Pour mes deux ans, on m'a offert un cheval en bois - le genre où on peut enfourcher le manche et galoper partout. Pour mes cinq ans, on m'a offert ma première épée en bois.
Dès que je passais à Camelot, il y avait l'un ou l'autre ami de mes parents pret à "jouer" un peu à l'entraînement.

Mes parents voulaient s'assurer que je n'aurais jamais à craindre l'avenir. Que je n'aurais jamais à m'inquiéter de ne pas pouvoir devenir chevalier. Ils n'ont jamais pensé à me demander si ce rêve - leur rêve d'enfance - était aussi le mien. Alors, moi, je n'ai jamais osé leur demandé si j'avais le droit de rêver d'autre chose.

Je ne m'en suis pas rendu compte tout de suite, en fait. Après tout, quand on est gosse, échanger quelques passes d'armes maladroites avec des adultes tout fiers, c'est marrant. En fait, je n'avais rien contre la vie qu'on me proposait. Mais je voulais plus. Je rêvais de quelque chose d'autre, quelque chose que j'étais trop jeune pour vraiment comprendre.

J'aimais la musique. J'aimais chanter et danser. Et je regardais les jolies robes des filles, vert de jalousie ! Et les chevaliers disaient "Vous avez vu comment il regarde les filles ? Déjà un petit charmeur à son âge ! Ce môme, il ira loin dans la vie !"

J'ai continué à grandir, et mes goûts se sont affinés. Je n'ai rien contre le combat à l'épée et j'aime bien le tir à l'arc, mais je déteste viscéralement le tournoi. Pourtant, je fais de mon mieux pour gérer, pour rendre mes parents fiers. Je suis leur fils unique, je ne peux pas les décevoir ! Mais voilà, les goûts et les couleurs... Mais ça, limite, c'était pas trop grave... Je dansais dans mon coin, la nuit, à la lumière complice de la lune. Je chantais tout bas sous les étoiles. Je n'en demandais pas plus, et ça allait plutôt bien à tout le monde.

Et puis tout a basculé quand il est arrivé à la cour de Camelot. Un nouvel écuyer. J'avais treize ans, il en avait quinze, et j'ai su au premier regard que plus rien ne serait jamais comme avant.
Tomber amoureux, ça arrive tout le temps, dans les contes de fées, pas vrai ? Mais qu'est-ce qu'on fait quand nos sentiments dérivent de la trame des histoires, hein ? Un écuyer amoureux d'un autre écuyer, ça, c'est du jamais lu !

Alors bon, lui au final, il est resté une semaine, il a décidé que la vie de chevalier ne lui convenait pas, et il est parti pour devenir barde. En fait, c'est pas tellement lui qui est important, dans ma vie. Mais, plutôt, ce qu'il m'a fait comprendre !
J'adore les filles, hein ! Elles sont rigolotes, on déconne bien avec elles. Mais elles ne m'intéressent pas - pas comme ça.

Mais ça, ce n'est pas un truc qu'on peut dire à ses parents, enfin, pas quand on est écuyer... Alors depuis, j'ai appris à jouer le jeu. A me trouver dans mon coin, en secret. A danser sous la lune et à jouter sous le soleil. Et bien entendu, il n'y avait aucune raison que je change ma façon de faire à Auradon Prep, pas vrai ?